La Santé du Shetland
« Un héritage génétique à contrôler. »
Le Shetland est sujet à plusieurs maladies héréditaires. En plus des maladies décrites ci-dessous, si un mariage "interdit" a été réalisé (cf. Découvrir la race), les conséquences sur sa santé peuvent également être très graves. Trop d'éleveurs en France ne semblent pas prendre la santé de leur chiens et de leurs descendants au sérieux. Exigez de voir les résultats des différents tests effectués sur les reproducteurs.
Les Maladies Oculaires
Plusieurs maladies oculaires héréditaires doivent être attentivement surveillées chez le Shetland grâce aux tests ADN permettant de savoir si le chien est porteur ou exempt et donc de sélectionner au mieux et en connaissance de cause les reproducteurs.
1. L'Anomalie de l'Oeil du Colley (AOC) : Il s'agit d'une maladie congénitale héréditaire qui est progressive ou non selon le stade. Il existe 4 stades allant de l'Hypoplasie Choroïdienne (voir 3.) aux hémorragies intraoculaires où le chien est aveugle. Le gène responsable de la maladie est récessif : il faut donc avoir les deux copies de l'allèle pour que la maladie s'exprime. Ce qui signifie que chaque parent doit être au moins porteur de la maladie pour transmettre la maladie aux chiots* (cf. Tableau en bas de page).
2. L'Atrophie Progressive Rétinienne (APR) : C'est une maladie grave qui entraîne la dégénérescence puis la mort des cellules qui composent la rétine et conduit donc à la cécité des deux yeux (le chien devient complètement aveugle), sans aucun traitement possible. La maladie est souvent accompagnée d'une cataracte (le cristallin devient opaque) et est indolore pour le chien qui compense petit à petit sa perte de vue progressive avec ses autres sens (l'ouïe, l'odorat et le "toucher").
3. L'Hypoplasie Choroïdienne : Le fond de l'oeil est dépigmenté mais la vision n'est pas affectée.
4. Le Colobome : Il s'agit de malformations de certaines parties de l'oeil.
5. La Dysplasie Rétinienne : Malformation de la rétine qui affecte la vue (allant de simples petits points jusqu'à la cécité). Cette maladie est héréditaire et congénitale mais non progressive (elle n'évolue pas avec l'âge).
Source : Collie-online
1. L'Anomalie de l'Oeil du Colley (AOC) : Il s'agit d'une maladie congénitale héréditaire qui est progressive ou non selon le stade. Il existe 4 stades allant de l'Hypoplasie Choroïdienne (voir 3.) aux hémorragies intraoculaires où le chien est aveugle. Le gène responsable de la maladie est récessif : il faut donc avoir les deux copies de l'allèle pour que la maladie s'exprime. Ce qui signifie que chaque parent doit être au moins porteur de la maladie pour transmettre la maladie aux chiots* (cf. Tableau en bas de page).
2. L'Atrophie Progressive Rétinienne (APR) : C'est une maladie grave qui entraîne la dégénérescence puis la mort des cellules qui composent la rétine et conduit donc à la cécité des deux yeux (le chien devient complètement aveugle), sans aucun traitement possible. La maladie est souvent accompagnée d'une cataracte (le cristallin devient opaque) et est indolore pour le chien qui compense petit à petit sa perte de vue progressive avec ses autres sens (l'ouïe, l'odorat et le "toucher").
3. L'Hypoplasie Choroïdienne : Le fond de l'oeil est dépigmenté mais la vision n'est pas affectée.
4. Le Colobome : Il s'agit de malformations de certaines parties de l'oeil.
5. La Dysplasie Rétinienne : Malformation de la rétine qui affecte la vue (allant de simples petits points jusqu'à la cécité). Cette maladie est héréditaire et congénitale mais non progressive (elle n'évolue pas avec l'âge).
Source : Collie-online
La Myélopathie Dégénérative
La myélopathie dégénérative est une maladie neurologique grave qui, à ce jour, a été identifiée dans près de 100 races dont le berger des Shetland. En effet, une étude réalisée par la fondation scientique américaine OFA montre que 29 % des Shetland testés étaient porteurs de la maladie et 7 % pouvaient la développer. Chaque sujet porteur de la maladie la transmettra à 50 % de sa descendance même si lui-même ne sera atteint de cette maladie.
1) Une maladie multifactorielle
La DM se manifeste en principe uniquement sur des chiens homozygotes mutés mais l’inverse n’est pas toujours vrai : parfois la maladie ne se déclare pas durant la vie de certains homozygotes mutés.
Où trouve-t-on l’alumium ? En quantité importante dans les vaccins injectés à nos chiens (principalement ceux contre la rage), dans l’eau, dans le pain de mie blanc, etc.
L’alumium est probablement le plus important facteur environnemental mais Patrick (auteur de collie-online.com) en a trouvé d’autres : stress, effort physique intense, inflammation, polluants, environnement froid, altitude élevée, etc.
2) Le diagnostic et l'évolution
La DM atteint les chiens âgés de 8 à 12 ans. Le chien adopte de plus en plus une démarche anormale : il va tituber comme une personne en état d’ébriété. Cette maladie n’entraîne pas de douleur spécifique.
Un symptôme indéniable de la DM est le retard proprioceptif. La proprioception est la perception spatiale de soi-même. Pour tester la proprioception, mettre le chien debout et plier sa patte, le dessus contre le sol (voir photo ci-contre). Un chien qui n’a pas d’atteinte neurologique va immédiatement et automatiquement résister pour poser sa patte à plat (coussinets au sol). Tandis que le chien atteint de DM va mettre plusieurs secondes à remettre son pied en position (ce qui explique d’ailleurs pourquoi il traîne de plus en plus son pied lorsqu’il marche), jusqu’au jour où il ne la remettra plus jamais en place (absence de proprioception).
L’évolution de la maladie consiste en la paralysie progressive, complète et irréversible de l’animal : à commencer par la paralysie de l’arrière-train puis la tétraparésie (tous les membres sont alors paralysés) et finalement la paralysie des organes vitaux (poumons, coeurs). La maladie aboutit donc inévitablement à la mort de l’animal.
3) Les traitements
Il n'existe malheureusement pas de traitement pour sauver l’animal.
On peut cependant administrer quotidiennement de la vitamine E, des acides gras oméga 3 et 6, de l'acide gamma-linoléique et L-Carnitine pour tenter de ralentir la dégradation des cellules nerveuses.
Il est important de continuer à pratiquer une activité sportive (ballades) et il est recommandé d’entreprendre un programme de physiothérapie (hydrothérapie et laserthérapie, deux fois par mois) pour ralentir la détérioration musculaire et espérer ralonger l’espérance de vie du chien. Lors des sorties, penser à protéger les pattes qui traînent à l’aide de chaussettes ou chaussures adaptées pour éviter que le chien ne se blesse. On peut également utiliser le "Biko Physio Brace" pour aider le chien à soulever ses postérieurs lorsqu'il marche.
Même si cette maladie n’entraîne pas de douleur physique, comment savoir si le chien ne souffre pas psychologiquement de sa condition ? Le maître devra alors décider de la suite : faire endormir son animal en phase terminale ou l’appareiller (à l’aide d’un chariot) pour poursuivre coûte que coûte un bout de chemin ensemble.
4) Le mode de transmission
La DM est une maladie autosomique récessive c’est-à-dire qu’un chien qui n’a qu’un des deux allèles mutés (appelé aussi “porteur” ou “hétérozygote” pour le gène) ne montrera aucun signe de la maladie mais transmettra cette mutation à 50 % de sa progéniture comme le montre le tableau en bas de page.
5) Eradiquer la maladie
Le test génétique (sur ADN) de dépistage de la DM existe : plusieurs laboratoires proposent de le réaliser (Antagène, Slovgen, Genindexe, etc.).
Ce dépistage coûte la modique somme de 35 euros (Slovgen, tarifs 2014) et permettrait aux éleveurs de ne plus produire de chiots atteints de cette maladie fatale pour l’animal et épouvantable pour son propriétaire qui voit son état se détériorer chaque jour. Les acheteurs peuvent par ailleurs porter plainte pour dol et obtenir gain de cause (le remboursement du prix du chiot et des frais occasionnés par la maladie).
Source : L'ensemble des informations ci-dessus ont été compilées à partir de l'article très documenté de Collie-online
- Une cause d'origine génétique
La DM se manifeste en principe uniquement sur des chiens homozygotes mutés mais l’inverse n’est pas toujours vrai : parfois la maladie ne se déclare pas durant la vie de certains homozygotes mutés.
- Les causes environnementales
Où trouve-t-on l’alumium ? En quantité importante dans les vaccins injectés à nos chiens (principalement ceux contre la rage), dans l’eau, dans le pain de mie blanc, etc.
L’alumium est probablement le plus important facteur environnemental mais Patrick (auteur de collie-online.com) en a trouvé d’autres : stress, effort physique intense, inflammation, polluants, environnement froid, altitude élevée, etc.
2) Le diagnostic et l'évolution
La DM atteint les chiens âgés de 8 à 12 ans. Le chien adopte de plus en plus une démarche anormale : il va tituber comme une personne en état d’ébriété. Cette maladie n’entraîne pas de douleur spécifique.
Un symptôme indéniable de la DM est le retard proprioceptif. La proprioception est la perception spatiale de soi-même. Pour tester la proprioception, mettre le chien debout et plier sa patte, le dessus contre le sol (voir photo ci-contre). Un chien qui n’a pas d’atteinte neurologique va immédiatement et automatiquement résister pour poser sa patte à plat (coussinets au sol). Tandis que le chien atteint de DM va mettre plusieurs secondes à remettre son pied en position (ce qui explique d’ailleurs pourquoi il traîne de plus en plus son pied lorsqu’il marche), jusqu’au jour où il ne la remettra plus jamais en place (absence de proprioception).
L’évolution de la maladie consiste en la paralysie progressive, complète et irréversible de l’animal : à commencer par la paralysie de l’arrière-train puis la tétraparésie (tous les membres sont alors paralysés) et finalement la paralysie des organes vitaux (poumons, coeurs). La maladie aboutit donc inévitablement à la mort de l’animal.
3) Les traitements
Il n'existe malheureusement pas de traitement pour sauver l’animal.
On peut cependant administrer quotidiennement de la vitamine E, des acides gras oméga 3 et 6, de l'acide gamma-linoléique et L-Carnitine pour tenter de ralentir la dégradation des cellules nerveuses.
Il est important de continuer à pratiquer une activité sportive (ballades) et il est recommandé d’entreprendre un programme de physiothérapie (hydrothérapie et laserthérapie, deux fois par mois) pour ralentir la détérioration musculaire et espérer ralonger l’espérance de vie du chien. Lors des sorties, penser à protéger les pattes qui traînent à l’aide de chaussettes ou chaussures adaptées pour éviter que le chien ne se blesse. On peut également utiliser le "Biko Physio Brace" pour aider le chien à soulever ses postérieurs lorsqu'il marche.
Même si cette maladie n’entraîne pas de douleur physique, comment savoir si le chien ne souffre pas psychologiquement de sa condition ? Le maître devra alors décider de la suite : faire endormir son animal en phase terminale ou l’appareiller (à l’aide d’un chariot) pour poursuivre coûte que coûte un bout de chemin ensemble.
4) Le mode de transmission
La DM est une maladie autosomique récessive c’est-à-dire qu’un chien qui n’a qu’un des deux allèles mutés (appelé aussi “porteur” ou “hétérozygote” pour le gène) ne montrera aucun signe de la maladie mais transmettra cette mutation à 50 % de sa progéniture comme le montre le tableau en bas de page.
5) Eradiquer la maladie
Le test génétique (sur ADN) de dépistage de la DM existe : plusieurs laboratoires proposent de le réaliser (Antagène, Slovgen, Genindexe, etc.).
Ce dépistage coûte la modique somme de 35 euros (Slovgen, tarifs 2014) et permettrait aux éleveurs de ne plus produire de chiots atteints de cette maladie fatale pour l’animal et épouvantable pour son propriétaire qui voit son état se détériorer chaque jour. Les acheteurs peuvent par ailleurs porter plainte pour dol et obtenir gain de cause (le remboursement du prix du chiot et des frais occasionnés par la maladie).
Source : L'ensemble des informations ci-dessus ont été compilées à partir de l'article très documenté de Collie-online
La Sensibilité aux Avermectines (mutation du gène MDR1)
La mutation du gène MDR1 (Multi Drug Resistance) peut avoir de graves conséquences, parfois mortelles, pour votre chien . Pour savoir si votre chien présente des risques vous pouvez le faire dépister, si vous ne connaissez pas son génotype pour la maladie, il vous faudra éviter de façon systématique toutes les molécules à risque (Ivermectine, Loperamide et Spyramicine entre autres) qui sont listées sur le site de l'Université de l'Etat de Washington, et en parler à votre vétérinaire (avant la délivrance de médicaments mais aussi des anesthésies). Attention également aux crottins de vaches, chevaux et moutons, ne laissez jamais votre chien en manger ! Car s'ils ont été vermifugés avec des Avermectines, votre chien peut mourir ! Voici une liste non exhaustive des médicaments présentant un risque avéré :
Il s'agit d'une maladie héréditaire autosomique récessive : un chien au génotype +/+ sera sain (non porteur), celui au génotype +/- sera porteur d'un allèle muté et potentiellement sensible, et celui qui aura un génotype -/- sera atteint et donc sensible de façon certaine aux Avermectines. La transmission* fonctionne donc comme l'A.O.C. (cf. Tableau en bas de page).
Source : Collie-online
- Vermifuges : Milbemax, Advocate, Program, Interceptor, Profender, etc.
- Double antiparasitaire (externe et vermifuge) : Cardomec (Ivermectine), Stronghold (selamectine), etc.
- Antiparasitaires externes : Flagyl, Comfortis, etc.
- Antiémétiques (contre les nausées et le vomissement) : Primperid, Primperan, Anausin, Emeprid, Motilium, etc.
- Anti diarrhéiques : Immodium et Lopéral (Loperamide), etc.
- Antibiotiques : Spyraphar, Histacetyl, Stomorgyl, Rodogyl, (Spyramycine) etc.
Il s'agit d'une maladie héréditaire autosomique récessive : un chien au génotype +/+ sera sain (non porteur), celui au génotype +/- sera porteur d'un allèle muté et potentiellement sensible, et celui qui aura un génotype -/- sera atteint et donc sensible de façon certaine aux Avermectines. La transmission* fonctionne donc comme l'A.O.C. (cf. Tableau en bas de page).
Source : Collie-online
La dysplasie coxo-fémorale (dysplasie de la hanche)
La dysplasie coxo-fémorale, touche de plus en plus notre race adorée. Un fléau qui se rajoute encore à la longue liste des maladies touchant le Shetland.
Il s'agit d'une maladie héréditaire complexe. Complexe car de parents sains peuvent naître des chiots atteints et inversement. Les facteurs environnementaux jouent également un rôle très important dans l'expression de la maladie. On déconseille donc, lors des premiers mois de vie du chiot, de solliciter de façon inutile les hanches du chiot. Ceci passe donc par le respect de certaines règles :
Les premiers signes apparaissent autour de 6 mois. Les traitements peuvent ralentir l'évolution de l'arthrose et réduire la douleur. Mais si rien n'est fait, un chien gravement atteint présentera d'importantes et douloureuses gênes pour se déplacer.
Les radiographies permettent de faire apprécier le degré de gravité par le vétérinaire. Il existe cinq stades (ou degrés) de gravité :
Source : article des Docteurs Breton et Colin
Il s'agit d'une maladie héréditaire complexe. Complexe car de parents sains peuvent naître des chiots atteints et inversement. Les facteurs environnementaux jouent également un rôle très important dans l'expression de la maladie. On déconseille donc, lors des premiers mois de vie du chiot, de solliciter de façon inutile les hanches du chiot. Ceci passe donc par le respect de certaines règles :
- Les promenades doivent être courtes pour un chiot (15 minutes pour un bébé de 3 mois est largement suffisant) ;
- Ne pas faire sauter son chiot (un parcours d'agility avec des barres à sauter est donc à éviter et ce, au moins jusqu'aux 8 mois du chiot) ;
- Ne pas laisser son chiot faire le fou et déraper sur un sol glissant (type carrelage) ;
- Ne pas laisser monter ou descendre les escaliers à son chiot, mais le porter ;
- Lui apporter une alimentation équilibrée (pas d'excès ni de carence notamment pour le Calcium) et de haute qualité : donc pas de pâtés industrielles ni de croquettes du supermarché et ne pas le laisser prendre de l'embonpoint.
Les premiers signes apparaissent autour de 6 mois. Les traitements peuvent ralentir l'évolution de l'arthrose et réduire la douleur. Mais si rien n'est fait, un chien gravement atteint présentera d'importantes et douloureuses gênes pour se déplacer.
Les radiographies permettent de faire apprécier le degré de gravité par le vétérinaire. Il existe cinq stades (ou degrés) de gravité :
- A : indemne de dysplasie
- B : stade intermédiaire
- C : stade I - dysplasie légère
- D : stade II - dysplasie moyenne
- E : stade III ou IV - dysplasie sévère
Source : article des Docteurs Breton et Colin
La maladie de Von Willebrand
Il s'agit d'une maladie héréditaire de la coagulation. Certains Bergers des Shetland sont affectés par cette maladie, généralement au stade I de la maladie (la moins grave), qui est également autosomique récessive* (il faut que les deux allèles du gène soient défectueux pour que la maladie s'exprime). Les conséquences de cette maladie sont des saignements continus pouvant aller jusqu'à des hémorragies mortelles.
Le laboratoire Antagène permet de dépister cette maladie. Les élevages nord-américains (Etats-Unis et Canada) dépistent de façon quasi-systématique leurs reproducteurs.
Le laboratoire Antagène permet de dépister cette maladie. Les élevages nord-américains (Etats-Unis et Canada) dépistent de façon quasi-systématique leurs reproducteurs.
La Dermatomyosite
à venir
*La transmission des maladies autosomiques récessives
Voici les tableaux de transmission des maladies autosomiques récessives (AOC, Myélopathie Dégénérative, MDR1 et maladie de Von Willebrand notamment) :
Génotype
Mère
Exempte (+/+)
Porteuse saine (+/-)
Atteinte (-/-)
|
Père
|
Les pourcentages indiqués dans le tableau ci-dessous ne sont que des valeurs théoriques : dans une portée donnée, les pourcentages ne seront pas forcément respectés mais à très grande échelle (par exemple sur 100 000 portées), les pourcentages seront bien représentés.
* Dans le cas de la Myélopathie Dégénérative, le pourcentage de chiots "Atteints" (= homozygotes mutés) indiqué dans le tableau ci-dessus, représente le pourcentage de chiots " à risque " sachant que tous les chiots homozygotes mutés ne manifesteront pas forcément la maladie au cours de leur vie. Pour en savoir plus, se référer à l'article sur la Myélopathie Dégénérative.
* Dans le cas de la Myélopathie Dégénérative, le pourcentage de chiots "Atteints" (= homozygotes mutés) indiqué dans le tableau ci-dessus, représente le pourcentage de chiots " à risque " sachant que tous les chiots homozygotes mutés ne manifesteront pas forcément la maladie au cours de leur vie. Pour en savoir plus, se référer à l'article sur la Myélopathie Dégénérative.
© Copyright 2014 - Haroldswick Shetland Sheepdogs